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Kay Quattrocchi

A propos

©B.one Photography

Kay Quattrocchi est une artiste très surprenante, pour ne pas dire… déroutante !

Sa vie est si intense que si un grand écrivain décidait un jour de faire un long métrage, il ne saurait pas par où commencer. Le plus simple est de raconter l’histoire au hasard. Elle n’y verra pas d’inconvénient, puisque les conceptions de l’espace et du temps de Kay ne sont pas forcément en phase avec celles de ses contemporains.

Malgré un prénom anglo-saxon, un patronyme italien et une mère grecque, Kay est française et a passé son enfance en Indochine. Cela dit, quelle que soit la nationalité, Kay est universelle ! Adolescente, elle est rapatriée en France alors que la guerre du Vietnam fait rage.
Son expérience de la guerre au fil des années lui donne un sens aigu de l’essentiel.
En France, elle découvre au même moment, grâce à son téléviseur et à l’expérience Apollo, que la technologie n’est pas seulement au service de la guerre, mais aussi du « génie humain ». Ce mélange de matériaux, de connaissances et d’intelligence a donné naissance à une technologie pas très éloignée du génie militaire, mais au service de la paix, Kay l’a bien compris.
Si elle ne deviendra peut-être pas astronaute, elle sait en tout cas qu’elle a l’âme d’une scientifique ! Avec sa passion pour l’astrophysique et la philosophie, et sa recherche du lien avec la conscience, elle entame une étude de toute une vie sur le sujet.

En toute logique, on pourrait croire que son destin était tout tracé. Et pourtant, quelques années plus tard, on la retrouve animatrice radio, télévision et cinéma à Tahiti ! C’est sans doute l’aspect le plus extraordinaire de la vie de Kay Quattrocchi.
Hasard, synchronicité, destin, tout s’entremêle. Au point de croire qu’elle mène des vies parallèles. Et ce n’est pas tout ! Nous ne reviendrons pas sur son adolescence à la Martinique, au Maroc et à Ceylan. Nous ne parlerons pas non plus de ses écoles catholiques et laïques, de ses visites quotidiennes au temple bouddhiste avec sa nourrice indochinoise, ou de son éducation orthodoxe du côté de sa mère.
Impossible de tout dire !
Kay est partout et nulle part à la fois, citoyenne d’ici et d’ailleurs, sans patrie et sans religion. C’est une femme intemporelle, insaisissable. Pourtant, elle semble porter un message. La réponse se trouve dans son art. Pour comprendre la complexité artistique de son personnage, il faut dire qu’elle peut tout peindre ! Sa maîtrise et son niveau technique lui permettent d’embrasser tous les styles. Cela dit, il est important de noter que, quel que soit le temps ou la manière dont Kay évolue à un moment donné, son parcours pictural est toujours orienté vers la même quête : le lien entre l’univers et nous.
Partout où elle va, l’art l’accompagne et la guide dans ses voyages. Elle traverse l’Atlantique (de St Martin à la Grèce) et la Méditerranée sur le mythique Ketch « Kriter » (et pourtant elle a peur de l’eau !). Elle a également visité le Paraguay et retraversé la Martinique et le Congo. Elle a échappé à la mort 3 fois, et l’a vue de près : ses « états de conscience modifiés » et ses expériences de mort imminente : une autre façon de voyager…
Toutes ces expériences l’ont peu à peu éclairée, comme en témoignent ses peintures. En Polynésie française, en quête de spiritualité, elle développe un intérêt particulier pour les « Marae », sanctuaires polynésiens, et assiste à certains rituels pour comprendre le « Mana ». Elle étudie les traditions tahitiennes, les tatouages ​​et les parures. Elle prend des notes et réalise des milliers de dessins et de peintures. L’un d’eux figure même sur un timbre d’une collection philatélique mondiale ! Ne se sentant pas dépositaire de cet important héritage, elle lègue toute son œuvre et s’installe aux Antilles.

En Martinique, elle compose un hymne pour 40 choristes et dessine la Marianne des territoires d’outre-mer acquise par le président de la République française. Elle est même convoquée à l’Elysée !

En 1992, elle découvre enfin Saint-Barth et s’y installe définitivement. Kay devient une peintre reconnue internationalement et commence à vendre dans le monde entier : Australie, États-Unis, Allemagne… Son mode de vie change.
Elle ouvre également l’une des premières galeries de l’île : « L’Espace 21 » dans le Carré d’Or de Gustavia. Pionnière, elle contacte les plus grandes maisons de ventes du monde et fait venir des œuvres d’Armand, Picasso, Leonor Fini et César qu’elle rencontre personnellement. Elle organise la première vente aux enchères de l’île !

Toutes ses aventures et ses rencontres ont influencé et modifié sa façon de peindre. Elle traverse successivement plusieurs périodes : naïve, pointilliste, réaliste, figurative-abstraction, avant de trouver enfin son propre style : « Entre Art et Science ». Elle se plonge dans son travail, vend sa galerie et entame un processus créatif ambitieux. Bien d’autres peintres auraient pu s’égarer à l’époque, dans un esprit obtus ou enclin au mystique. Pas Kay ! L’information se présente et la dévore. Elle cherche à comprendre. Sa réponse est cartésienne !
Après une rencontre extraordinaire avec l’astrophysicien Panayotis Charitos (CERN), elle se lance dans l’étude de l’infiniment grand et de l’infiniment petit. A la recherche du lien entre nous et l’univers, à travers l’information astrophysique : Bosons, neutrinos, particules, trous noirs, ondes gravitationnelles, mur de Planck, mécanique quantique, double causalité, espace et temps, tout ! Elle rencontre même l’équipe du CERN, le gigantesque accélérateur de particules franco-suisse.
Son but ultime : retranscrire le mouvement des particules élémentaires entre inspiration et mathématiques à travers ses créations artistiques, et partager le lien qui existe entre la Conscience et l’Univers afin de découvrir qui nous sommes réellement. Elle a déposé un brevet international pour sa dernière création : « Murs de Lumière », qui définissent les multi-dimensions de l’Être en nous.

Ce « Mur de Lumière » a été inauguré le 17 février 2017 devant la cour de la Collectivité de Saint-Barth’.

La Collectivité de Saint-Barthélemy a organisé sa « Rétrospective » entre « Art et Science » au Musée de Saint-Barthélemy du 17 février au 17 mars 2019 avec un physicien français M. Philippe Guillemant.

Kay Quattrocchi est un OVNI peintre, un extraterrestre. Et si vous voulez passer un bon moment, n’hésitez pas à jeter un œil à ses toiles, ou mieux encore ! Visitez son atelier.

Mais attention, son échelle de temps n’est pas la même que la vôtre…

Site Officiel de Kay Quattrocchi Contact The Planck Wall Gallery
Pointe Milou
141 Chemin Gabriel Berry
97133 Saint Barthélémy
Sur rendez-vous
+590 690 554 682
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